Revue de presse

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Fabelhaft: Danzis Cellokonzert mit Aurélien Pascal

Als Sohn eines Italieners schlug das Herz des Cellisten, Dirigenten und Komponisten Franz Danzi 1763-1826) für die Oper. Er dirigierte Werke seiner Kollegen, u.a. seines Freundes Carl Maria von Weber, und schrieb selber mindestens 16 Stück.

Der schwäbische Meister war auch ein wichtiger Wegbereiter der Romantik, dem vor allem die Bläser eine stattliche Bereicherung ihres Repertoires zu verdanken haben. Kaum bekannt sind heute sein Klavierkonzert und das Cellokonzert sowie die Ouvertüre, die in diesem Programm gespielt werden.

So wie der Komponist sich hier präsentiert, hat seine Musik alles, um aus ihm einen liebenswerten Komponisten zu machen …

Source : www.pizzicato.lu

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Festival Musique à l’Empéri, Salon-de-Provence

Ce jour, le violoncelliste Aurélien Pascal qui, en choisissant pour sa « carte blanche » deux œuvres pour violoncelle seul — la sonate de Zoltán Kodály, et la suite de Gaspar Cassado —, subjugue et fascine le public. On n’exagère aucunement en disant que son inspiration est divine ; celle-ci se conjugue avec une technique exceptionnelle pour laquelle l’adjectif « époustouflant » devient banal, dans son interprétation de ces partitions effroyablement exigeantes. Ses choix en disent long sur son envie de défi et son sens de la perfection. Il y a tout dans son jeu : souffle, fureur, délicate confidence, violence, sérénité… À tout juste 20 ans, il possède une profonde maîtrise de son instrument, pour être l’un des meilleurs représentants du violoncelle français.

Source : Ouestfrance, 23 Août 2016.

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Feuermann Cello Competition

In the end it was Frenchman Aurélien Pascal who took home the Grand Prix as well as two other prizes – deservedly so, for he had demonstrated an unparalleled level of virtuosity and musical intuition throughout. From Poulenc’s Sonata for Piano and Cello to Popper’s Fantasy on a Little Russian Song (a signature Feuermann work), he commanded attention from the outset. In the finals with the Kammerakademie Potsdam he had no problem taking the reins in the Schumann Concerto while indulging in a range of dynamic shadings. In the Toch Concerto he brought the orchestra’s musicians to a level of intensity unseen in the performances by his fellow competitors Ioniţă and Enderle, now blending with the twelve–piece chamber orchestra’s expressionist textures, now etching out a polished line.

Source : The Strad, 14 Juin 2015.